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Cet article a 2 commentaires
Quelques méditations (terme que je préfère à « réflexions ») en partant pour ma part que poésie (poësis) est mère de philosophie :
« Si le temps et l’espace […] comme des réalités objectives sujettes à illusions ». Je dirais – sujettes à perceptions et à interprétations. « Sujettes » effectivement car une part de nous est assujettie – nous sommes ondes de l’Onde, quand une autre part peut voguer sur les voies de l’imaginaire de ce qui s’est effacé pour que ce qui est, soit.
« Chemin qui met tout en chemins. » M. H.
Quelques méditations, partant pour ma part que – poésie (poësis) est mère de philosophie :
Aussi, peut-être : »Si le temps et l’espace […] de les considérer comme des réalités objectives sujettes […] » à perceptions, à interprétations. « Sujettes » effectivement car une part de nous y est assujettie – étant poussières d’étoiles, tandis qu’une autre part peut voguer par l’imaginaire par le dévoilement de ce qui s’est effacé pour que ce qui est, soit (ondes de l’Onde).
« Chemin qui met tout en chemins. » Martin Heidegger