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Nous sommes fait à son image (nullement anthropomorphe…) nous allons vers Dieu à chaque pas de l’application de son ordre en suivant l’esprit de son Amour pour nous et que nous devons avoir pour lui et ce qu’il a fait. Soyons dans la lumière
Mais dans cette création, il y a la signature de Dieu qui la faite par amour et dans la beauté de la création réside un reflet de la Gloire et de la splendeur de Dieu. Car aujourd’hui protégeons nous cette création ?…. Là est une autre question. Sincèrement à vous.
Pour qui se penche un tant soit peu sur cet aspect mystérieux de l’existence, nous n’en répondons pas toutes et tous exactement et totalement les uns envers les autres, ce qui n’en amenuise pas pour autant Dieu mais ce qui justement nous fait nous en approcher. Il est favorable d’observer la liberté que cela entraîne avec elle, car considérer que nous ne sommes pas nos pires ennemis dans une existence matérielle par exemple désastreuse, développe une autre dimension qui soutient l’être vivant dans un aspect qui ne peut trouver tout son épanouissement en quelques mots, ni en quelques formulations éphémère. C’est un sujet à ne pas prendre à la légère mais qui mérite beaucoup d’autodérision ! Pour autant, et afin d’être synthétique, la contemplation en l’instant prodigue les attributs du caractère singulier d’un individu inscrit dans cette harmonieuse volonté d’agir, de se coordonner et d’éprouver aussi des améliorations à la limite de son intelligence. La sagesse ne demeure que l’étalon véritable sur ce que nous faisons, réalisons ou entreprenons car en effet, il existe bel et bien une force maternelle supérieure qui veille à nous accorder des soins, l’incarnation et la possibilité à disposer de réflexions. La distance qui demeure entre le fait d’affirmer Dieu ou intelligence universelle ne dépends uniquement que de notre capacité à agir au quotidien sur plusieurs aspects qui font que nous répondons à des besoins nécessaires et utiles que méditer Dieu dans son état universel, c’est-à-dire ample, qui possède l’envergure plus large que notre seule observation, puisque l’ensemble du tout vibre, palpite, partage de l’informations et ont donc également une intelligence qui s’active vertueusement pour l’ensemble. Voir comme un oiseau c’est imaginer alors que notre seul plan humain n’est pas plus supérieur qu’un autre, bien que l’être véritable prend la place de l’homme en puissance en Soi. Passer de « l’Homo Maximus » à « l’Humani Generi« , de l’être véritable à l’être accompli. Que cela soit genèse de l’immédiate création des âmes par le » Sacr va N’cabah » , la genèse qui créa homme et femme et qu’enfin la nature même de la fécondité demeure celle d’envisager à l’image dans la bible » Soyez féconds et multipliez-vous » ou encore » Emplissez la terre et soumettez-la« . Cela veut dire, cessez de chercher à devenir mais soyez, que cela porte des fruits concrets lorsque cela est équilibré et qu’il faille ainsi comprendre l’état de conscience pour oser dire multiplication car cela nécessite d’avoir appréhender des aspects beaucoup plus nobles par le passé et de les avoir intégrés. Merci pour votre réflexion. Que cela puisse nous êtres, chers ami(e)s, nous accompagner par nos vœux de paix profonde.
Le nom du créateur « Dieu » n’est pas un choix du hasard, c’est un sigle qui indique la définition du créateur.
Dieu étant le Créateur de tout l’univers et de tout ce qui y existe, il est normale qu’Il soit à l’origine du Big Bang. La théorie du Big Bang que des astrophysiciens ont annoncée et tentent de démontrer, n’est possible que par leur connaissances acquises et grâce à leur maîtrise de certaines lois divines, même si la grande majorité d’entre eux soutient que c’est un phénomène dû au hasard. Même l’Eglise a dissocié la Création, du Big Bang, en 2008, le pape Benoît XVI a inauguré le colloque de l’Académie pontificale en disant ceci, je cite : « Il n’appartient pas à l’Eglise de porter un jugement sur une théorie scientifique en tant que telle. Ce n’est pas de mon ressort. ». Cependant, aussi bien certains scientifiques que certains ecclésiastiques s’accordent sur leurs opinions convergeant vers le fait que Dieu est à l’origine de la Création. Hubert Reeves, astrophysicien a dit, je cite : « Il faut distinguer le domaine scientifique qui explique comment les choses fonctionnent du domaine des valeurs. La foi relève de la démarche personnelle, de l’expérience propre. A certaines périodes, en fonction des rencontres, des évènements, on peut être plus ou moins mystique. ». Dans le même ordre d’idées, L’Abbé Georges Lemaître ayant existé à l’époque du pape Pie XII dénonce, je cite : « Une incompatibilité méthodique entre l’application des lois de la la physique et l’affirmation de la Création » en distinguant « le commencement naturel, issu de la physique de la Création, en lien avec la métaphysique. ». esther melèdje