Réflexion sur l’écologie

« L’écologie n’est pas une vue de l’esprit, mais une nécessité si nous voulons que l’humanité survive. Cela implique de renouer avec la nature et de respecter les lois qui régissent les règnes minéral, végétal et animal. »

Et vous, qu’en pensez-vous ?

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Cet article a 5 commentaires

  1. bolcato olivier

    Respecter les lois naturelles est nécessaire encore faut-il les connaître.
    Un effort d’éducation dans ce domaine dès l’école primaire permettrait aux générations futures d’être plus sensibles à ces questions environnementales.

  2. Paul Jean

    Bonjour à tous,
    S’il est vrai que l’humanité à la responsabilité du devenir de notre planète à la différence des autres formes de vie qui évoluent sur notre monde, il n’en demeure pas moins qu’il faudrait se souvenir d’où nous venons et toutes les épreuves que nous avons rencontrés sur notre chemin de l’évolution; La « dualité » de notre forme de vie peut en partie expliquer pourquoi nous sommes dans une telle situation; N’oublions pas pour « ceux qui pensent que la réincarnation » est un moyen à nos âmes d’évoluer et d’apprendre de la matière que nous sommes dans un monde évolutionnaire dans un but bien prècis que je laisse à chacun d’entre vous d’interpréter.
    Le monde est le reflet de la pensée collective et nous sommes tous différents dans notre propre chemin de l’évolution,
    On pourrait écrire des pages sur ce point mais l’expérience n’est pas communicable, elle peut s’expliquer mais elle doit se vivre…restons désespérement optimistes.

  3. Pivoine

    La planete terre est en souffrance, le climat est corrompu par les ondes, la technologie comme l’effet de haarp qui provoque des chutes de neige et bien plus est un désastre, une pensée me viet a l’esprit (un bon ouvrier prend soin de ses outils) l’homme aurait dû prendre soin de la planète terre

  4. Isora

    L’écologie est un éveil au monde et donc, un éveil spirituel. A ce titre, elle interroge l’existence, les lois cosmiques, mais aussi le destin de l’homme sur terre. Elle amène chacun à s’interroger sur sa nature profonde et sur sa place dans la nature et le cosmos. Bien cordialement.

  5. esther meledje

    Pour étendre son espace vitale et même parfois pour aucune raison, l’être humain n’a de cesse de détruire et de transformer la nature. Hors l’humanité ne représente qu’une infime proportion dans la chaîne nécessaire à la survie de notre planète la Terre (voir LUCA : Last Universal Common Ancestor), elle est certes la plus grande, étant consciente et donc faisant les choix quant au devenir du reste des autres règnes. Selon les scientifiques, l’homme a été le dernier à faire son apparition sur la Terre et même en tant que majeur de l’ensemble, il n’en demeure pas moins le plus fragile d’entre eux. A l’aune de telles informations, l’humanité doit s’efforcer de comprendre qu’elle a la responsabilité de la survie de la Terre et, en en faisant sa préoccupation principale adapter son comportement au rétablissement de certaines règles favorisant cette survie, il y a URGENCE ! Et au cas où certains se diront « il faut bien mourir de quelque chose » ou pour ceux se prenant pour le nombril du monde ne pensant pas à la future génération se disant « Dans tels nombres d’années nous serons suffisamment âgés pour ne plus être de ce monde », il est nécessaire qu’ils sachent, je dirais plutôt qu’ils constatent que la nature reprend toujours ses droits et, nous en expérimentons déjà les prémices. esther melèdje

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