Réflexion sur la nature

« Il n’existe pas de vide entre les règnes de la nature. Chacun, à son niveau, contribue à l’évolution de l’âme planétaire et de la conscience qui lui est propre, depuis les formes de vie les plus primitives jusqu’aux plus élaborées, dont l’homme lui-même. »

Et vous, qu’en pensez-vous ?

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Cet article a 5 commentaires

  1. Vivaldi

    La nature représente le dessein parfait du divin à travers l’existence et ceci sur tous les plans; Est-ce-pourquoi il y a nécessité que nous apprenions à apprécier notre environnement voire les protéger et respecter, car chaque élement qui y fait partie en est une représentation du divin.
    Donc, on peut dire que la nature symbolise le divin lui-même parmi nous.

  2. Angele

    Il y a presque 100 ans, Swâmi Vivekânanda le disait aussi : « C’est un grand thème du Védânta, cette Unité de la vie, cette Unité de toutes choses. Tout notre malheur vient par l’ignorance et cette ignorance est l’idée de multiplicité, de séparation entre l’homme et l’homme, entre nation et nation, entre terre et lune, entre lune et soleil. C’est de cette idée de séparation entre atome et atome que viennent tous nos malheurs. Mais le Védânta nous dit que cette séparation n’existe pas, qu’elle n’est pas réelle. Elle n’est qu’apparente, à la surface. Au coeur des choses, il y a toujours l’Unité. »

    Que ce soit entre les règnes de la nature, entre les hommes, les nations, les religions, les races, les animaux et l’univers tout entier, il n’y a pas de séparation ou vide, mais une âme universelle (on peut l’appeler comme on veut : Âme du monde, Atman, Maât, l’Un, etc.) qui évolue, se perfectionne et fait s’agrandir l’univers. L’Unité de la vie se retrouve partout, sous des formes de conscience à des degrés différents, mais unis et complémentaires. l’interdépendance est une loi cosmique.

  3. Isora

    Le vide est une des étapes les plus importantes de la vie ; parce que c’est en lui que vit la promesse d’une création, d’une transformation qui peut prendre place, car au coeur de ce vide il y a la présence, les règnes de la nature qui s’imbriquent pour former un nouvel équilibre qui en émerge travaillant de concert avec l’intelligence de la vie ; ce qui fait son projet en évolution constante, qui ne provient pas du mental et de l’émotionnel, mais de l’essence qui nous place à un endroit où notre énergie contribue le plus à cet équilibre qui émerge dans notre nature propre. Bien cordialement.

  4. esther meledje

    La génomique n’a pas livré tous ses secrets sur l’arbre du vivant, buisson sphérique représentant LUCA (Last Universal Common Ancestor) puisqu’ils viennent de mettre au jour une branche concernant des familles de bactéries vivantes n’étant pas répertoriées dans LUCA et ayant un comportement les singularisant. Ces données scientifiques corroborent donc la phrase ci-dessus du Grand Maître, l’homme (l’être humain) étant le plus évolué de la souche des Eucaryotes, puis, des Métazoaires. La place qu’occupe l’homme dans tout ce grand ensemble n’est pas qu’une position de force, elle le met face à une lourde responsabilité vis à vis de ses congénères et des autres règnes (…) Il doit garder présent à l’esprit que : ‘ L’homme a besoin de la nature et que la nature n’a pas besoin de l’homme’ et s’efforcer de faire régner en priorité, l’harmonie. (esther melèdje)

  5. pivoine

    Que pouvons nous avoir comme réflexion quand on observe la nature dans sa perfection, que tout est parfait, pourquoi la détruire systématiquement en inventant des produits toxiques (la liste est longue) pour un usage mercantile.La pensée qui me vient à l’esprit est (Le moulin de « Dieu » écrase le grain lentement, mais surement, il risque de se produire quelque chose d’irréversible si l’homme ne met pas un frein à tout ce système d’exploitation, il à tout pris à la nature sans rien lui rendre. Sans vouloir être pessimiste l’heure est grave, Comment l’homme peut il vouloir rivaliser avec le grand principe créateur ?

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